La chose qui l'empêche le plus de dormir, soupire Elaine Stokes, gestionnaire de portefeuille chez Loomis Sayles, filiale de Natixis, lors d'une réunion avec les médias à Paris, c'est le manque de liquidité des obligations à court terme. Mais elle n'est pas la seule à le dire : le travail des investisseurs obligataires a longtemps été ennuyeux, mais il est redevenu amusant.
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